Tu étais peut-être en train de chercher des informations sur la sexualité. À te renseigner. À répondre aux questions que tu as en toi et que tu n’oses pas poser à un adulte.
Tu voulais peut-être comprendre ton corps et ses transformations.

Tu cherchais peut-être un moyen de te rassurer sur tes capacités, tes attributs physiques.
Et c’est en cherchant ces infos, que tu es tombé sur du porno.

Tu étais peut-être très jeune lorsque tu es tombé sur ce genre de contenu. Tu as peut-être été exposé malgré toi. Sur les réseaux sociaux. Chez les copains. Dans la cour du collège. Tu n’avais pas l’intention de tomber sur ça. Et ça a laissé des traces en toi.

Tu cherchais peut-être exprès. Tu avais entendu parler du porno et tu souhaitais le découvrir. Ou à avoir l’air cool auprès de tes copains.

Tu crois peut-être que la pornographie est bonne pour toi, car elle te procure des moments agréables et plaisants.

Depuis, les contenus que tu regardes te font vivre un plaisir et une excitation très très intense. Comment t’en passer ?

Tu étais peut-être très jeune lorsque tu es tombé sur ce genre de contenu. Tu as peut-être été exposé malgré toi. Sur les réseaux sociaux. Sur Tik Tok. Chez les copains. Dans la cour du collège. Tu n’avais pas l’intention de tomber sur ça. Et ça a laissé des traces sur toi.

Tu étais peut-être en train de chercher des informations sur la sexualité. A te renseigner. A répondre aux questions que tu as en toi et que tu n’oses pas poser à un adulte.

Tu voulais peut-être comprendre ton corps et ses transformations.

Tu cherchais peut-être un moyen de te rassurer sur tes capacités, tes attributs physiques.

Et c’est en cherchant cette info, que tu es tombé sur du porno.

Tu cherchais peut-être exprès. Tu avais entendu parler du porno et tu souhaitais le découvrir. Ou à avoir l’air cool auprès de tes copains.

Tu crois peut-être que la pornographie est bonne pour toi, car elle te procure des moments agréables et plaisants.

Depuis les contenus que tu regardes te font vivre un plaisir et une excitation très très intense. Comment s’en passer ?

Dès le premier contact avec ces images, il s’est passé en toi quelque chose de très fort : tu as peut-être ressenti du dégoût, de la peur, de la honte… mais peut-être aussi en même temps de l’excitation, de la curiosité, de la fascination

C’est dans cette étonnante contradiction que commence la spirale de l’addiction.

Et cette addiction te demande toujours plus. Plus de contenu. Plus d’excitation. Plus de temps à regarder. Plus souvent. Plus longtemps. Parfois même plus violent.

Questions d’ados

FAUX

👉 Ce que disent les spécialistes :
Quand tu regardes beaucoup de porno, ton cerveau s’habitue et en veut toujours plus. Résultat : tu ressens moins de plaisir qu’avant et tu dois augmenter la “dose” (plus souvent, plus longtemps, des vidéos plus violentes ou extrêmes…) juste pour retrouver les mêmes sensations. C’est ce qu’on appelle la tolérance, comme dans d’autres addictions.

👉 Le système de récompense, c’est quoi ?
Ton cerveau a un système qui te motive à faire des choses utiles pour toi : manger, apprendre, faire du sport, passer du temps avec des amis… Quand tu fais ça, il t’envoie du plaisir pour te donner envie de recommencer.
Mais le porno détourne ce système. À chaque fois que tu en regardes, ton cerveau libère de la dopamine (la molécule du plaisir). Comme ça fait du bien sur le moment, ton cerveau en redemande. Et c’est là que ça peut devenir un piège.

👉 En résumé :
Tu crois que tu prends du plaisir, mais en fait tu t’enfermes dans un cercle vicieux qui peut avoir beaucoup de conséquences négatives.

💡 Pose-toi la question : quand tu regardes souvent du porno, comment tu te sens après ? Soulagé ? Ou plutôt vide, frustré, pas bien ?

🎥 Pour aller plus loin :

 

FAUX

Oui, tu peux regarder du porno sans voir d’effets négatifs tout de suite… mais ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de conséquences.

👉 Pour les actrices :
Beaucoup ne sont pas là par vrai choix. Certaines sont forcées, manipulées, ou poussées par la pauvreté. Elles doivent souvent tourner des scènes violentes ou humiliantes. Derrière les vidéos que tu vois, il y a parfois beaucoup de souffrance et d’abus.

👉 Pour les garçons :
Le cerveau s’habitue aux images du porno et ça peut rendre plus difficile de s’exciter dans une vraie relation, avec une vraie personne.

👉 Pour les filles :
À force, certaines peuvent penser que ce qu’elles voient dans le porno est “normal” et finir par accepter des choses qu’elles n’ont pas vraiment envie de vivre. Ça peut mener à des expériences sexuelles désagréables, voire violentes.

👉 Pour la santé mentale :
Le porno peut aussi peser lourd avec le temps : anxiété, déprime, isolement, perte de confiance, voire addiction.

💡 Pour aller plus loin : regarde la vidéo de Tibo InShape 👉 “Mon Addiction aux films pornos”

 

FAUX

👉 Ce que disent les spécialistes :
Le porno, c’est un “super-stimulus” : ça envoie tellement de dopamine (la molécule du plaisir) à ton cerveau qu’il s’y habitue et finit par ne plus réagir normalement. Résultat : devant une vraie personne, il peut y avoir… plus d’érection ! Ce phénomène a même un nom : PIED (Porn Induced Erectile Dysfunction). En gros, plus tu regardes de la pornographie, plus tu risques de ne pas avoir d’érection dans une rencontre sexuelle réelle et plus tu risques de galérer dans ta vraie sexualité !

👉 Les américains affirment : Porn Kills Sex ! Cela veut dire le porno tue le sexe. Et oui, il y a des effets concrets :

  • Attentes irréalistes : le porno montre des corps parfaits, des performances de ouf et des scénarios qui n’ont rien à voir avec la vraie vie. Ça peut fausser complètement tes idées sur le sexe.

  • Moins de désir dans la vraie vie : ton cerveau s’habitue aux vidéos rapides et intenses → du coup, une vraie rencontre peut te sembler “fade”.

  • Pression et stress : tu peux te comparer aux acteurs, croire que tu dois “assurer comme eux”, et ça peut te mettre une grosse pression.

  • Moins de connexion : le porno ne parle jamais d’émotions, de respect ou de confiance. Mais dans la vraie vie, c’est ça qui rend une relation belle et épanouie.

👉 En résumé :
Le porno peut donner l’impression de tout t’apporter, mais en vrai il te coupe de la réalité, crée des frustrations et peut t’empêcher de vivre une sexualité saine et épanouie.

VRAI

👉 Ce que disent les spécialistes :
Le porno peut créer une forme d’addiction parce qu’il stimule très fort le cerveau. Chaque vidéo libère de la dopamine, la molécule du plaisir. Plus tu regardes, plus ton cerveau s’habitue et en redemande pour ressentir le même plaisir. Avec le temps, tu peux perdre le contrôle et avoir du mal à t’arrêter, même si ça te dérange ou t’isole.

👉 Aussi la masturbation est une sorte de “calmant” naturel. Si tu t’habitues à te masturber régulièrement avec de la pornographie, ton corps et ton cerveau apprennent à se détendre comme ça. Au fil du temps, tu peux t’habituer, sans même te rendre compte, à calmer toutes tes émotions de cette manière là. Cela est un symptôme clé de l’addiction.

👉 Pour mieux comprendre :
Le cerveau réagit au porno un peu comme à certaines drogues : les mêmes circuits sont activés que pour le crack ou la cocaïne.

💡 Pour en savoir plus : consulte la Fiche Symptômes de l’addiction.

FAUX

Même si tu es intelligent, ton cerveau et ton corps ne font pas la différence entre du porno et une vraie situation sexuelle. Ils réagissent comme si c’était réel !

Quand tu regardes du porno :

  • Ton attention est complètement absorbée, ton corps est excité, et ton cerveau garde en mémoire tout ce que tu vois et ressens. C’est ce qu’on appelle l’apprentissage pornographique.

  • Tes neurones miroirs s’activent. Ce sont des cellules qui te permettent de comprendre et de ressentir ce que vivent les autres. Quand tu vois quelqu’un sourire ou pleurer, ton cerveau “rejoue” ces actions ou émotions. Dans le porno, ton cerveau fait pareil : il imite ce qu’il voit et s’excite comme si c’était réel.

🔹 Conséquence :
Ça peut créer des habitudes mentales et fausser ta vision du sexe et des relations. À force, ton cerveau peut même te pousser à reproduire certains comportements pornographiques sans t’en rendre compte.

💡 En résumé : ton cerveau apprend du porno comme s’il apprenait quelque chose de réel, ce qui peut influencer tes attentes et ton comportement sexuel.

Tu veux faire le point sur ta consommation ? Essaie ce petit test !

FAUX

Le porno n’est pas une école du sexe. Il ne t’apprend ni le respect, ni les émotions, ni la vraie intimité. Pour bien vivre ta sexualité, il vaut mieux apprendre avec confiance, écoute et en prenant ton temps.

Voici les différences entre la sexualité de le porno et la sexualité saine :

LA SEXUALITÉ DE LA PORNOGRAPHIELA SEXUALITÉ SAINE
Le sexe c’est utiliser l’autreLe sexe c’est prendre soin de l’autre
Le sexe c’est renoncer à soi-mêmeLe sexe c’est partager
Le sexe c’est agir pour le plaisir des autresLe sexe est pour un plaisir partagé et personnel
Le sexe est compulsif, égodystoniqueLe sexe est naturel, égosyntonique
Le sexe est fait pour le publicLe sexe est intime
Le sexe implique regarder d’autresLe sexe est une connexion unique et authentique
Le sexe est séparé de l’affectLe sexe est une expression de l’affect
Si le sexe fait mal, c’est comme çaQuand le sexe fait mal, tu peux arrêter
Le sexe et la violence vont ensembleLe sexe est non-violent
Le sexe est émotionnellement froid, distantLe sexe est émotionnellement proche
Le sexe peut se faire partout et n’importe oùLe sexe requiert certaines bonnes conditions
Le sexe est dangereux, sans sécuritéLe sexe doit se faire en sécurité
Le sexe est dégradantLe sexe est toujours respectueux
Le sexe est irresponsableLe sexe est responsable
Le sexe n’a pas d’éthiqueLe sexe inclue les valeurs et l’éthique
Le sexe n’a pas besoin de communicationLe sexe requiert une communication saine
Le sexe implique le fait de subirLe sexe est épanouissant
Le sexe déçoit, trahitLe sexe implique honnêteté
Le sexe se centre sur du visuelLe sexe requiert tous nos sens
Le sexe n’a pas de limites éthiquesLe sexe a des limites éthiques
Le sexe requiert une double vieLe sexe montre qui tu es vraiment
Le sexe met à mal tes valeursLe sexe reflète tes valeurs
Le sexe est associé à la honteLe sexe est associé à la joie

👉 Le porno ne donne pas la vraie image du corps 

N’oublie pas que les contenus pornographiques ne représentent pas la réalité des corps ! 

👉 Le porno ne montre pas une sexualité saine 

La relation et le respect ne sont pas au centre de la réalité dans le porno. 

💡 Ce que ça peut faire :

  • Fausses attentes : tu crois que le sexe doit être intense, bruyant, rapide et avec des corps parfaits. En vrai, la sexualité, c’est plus doux, plus maladroit, plus humain ! 

  • Désir impacté : ton cerveau s’habitue au porno et tu peux avoir du mal à t’exciter dans la vraie vie.

  • Stress et pression : tu peux te sentir obligé de “performer” ou de savoir exactement quoi faire, être endurant, proposer des pratiques osées. Tu ressens de la pression, la peur d’être nul ou pas à la hauteur, et ça, ça impacte.

🔹 Conséquence : cela coupe des vraies relations basées sur l’amour, le toucher, la tendresse, le consentement et la complicité, l’écoute, etc.

💡 En résumé : Le porno fausse la réalité du sexe et peut avoir un impact sur tes relations et ton plaisir réel.

🔗 Pour en savoir plus : Le corps dans la pornographie

FAUX

On entend parfois dire que le porno “éthique” est mieux parce que les acteurs sont respectés et tout est consenti. Oui, c’est moins pire que le porno violent ou forcé… mais ça ne veut pas dire que c’est bon pour toi.

Pourquoi ?

  • Ton cerveau ne fait pas la différence : même si les contrats de l’industrie sont plus respectueux avec les personnes impliquées…sur toi, l’effet reste le même. Ça reste une vidéo excitante qui stimule ton système de récompense. À force d’en regarder, tu développes une accoutumance. Tu ressens moins de plaisir pour les vidéos “simples”, tu cherches plus souvent, plus longtemps, ou des contenus plus forts. Tu deviens dépendant sans t’en rendre compte

  • Ça crée des attentes irréalistes : même les vidéos “éthiques” sont jouées, scénarisées, coupées, montées. Tu risques de croire que le sexe dans la vraie vie doit ressembler à ça : les corps, les réactions, les performances… alors que ce n’est pas du tout pareil. Du coup, tu peux te sentir nul, insatisfait, ou mettre la pression à l’autre. 

  • Ça remplace la vraie connexion : au lieu d’explorer la sexualité avec respect, patience et émotions dans une vraie relation, le porno (même “éthique”) t’offre un plaisir immédiat, sans effort, sans contact humain. Et plus tu y reviens, plus il devient difficile de te satisfaire autrement.

💡 En résumé : Même “éthique”, le porno agit sur ton cerveau comme les autres. Il peut t’habituer à un plaisir rapide, isolé et irréaliste, et te couper petit à petit d’une sexualité vraie, partagée et respectueuse.

Comment en parler aux parents ?

Suis-je accro au porno ?

Suis-je accro au porno ?

Je suis
parent d’ado

Une exposition de plus en plus précoce

L’exposition à des contenus pornographiques s’opère de plus en plus tôt.

Quelques chiffres :

  • « Chaque mois, 2,3 millions de mineurs fréquentent des sites pornographiques. Dès 12 ans, plus de la moitié des garçons se rendent en moyenne chaque mois sur ces sites (51% des garçons et 31% des filles de 12-13 ans). 12% de l’audience des sites adultes est réalisée par les mineurs. » Rapport de l’ARCOM en mai 2023

  • « Le nombre de mineurs visitant des sites adultes chaque mois a augmenté de +36% en 5 ans. » Rapport de l’ARCOM en mai 2023

  • « Plus de 82% des mineurs ont été exposés à des contenus pornographiques ». Sondage Opinionway pour 20 minutes en avril 2018

L’impact de cette exposition

Même si cette première exposition ne résulte pas toujours d’une consultation volontaire (publicités, spams, liens vers des forums, recherches d’informations sur internet, etc.), elle a immédiatement des conséquences pour nos enfants.

Selon Béatrice Copper-Royer – psychologue spécialiste de l’enfant et de l’adolescent et co-fondatrice de l’association e-Enfance « c’est une effraction dans leur imaginaire et ça les sidère ».

“ La moyenne d’âge de premier contact est de 9 ans (Ballester et al., 2019). Les études montrent que 40% à 70% des adolescents sont tombés sur de la pornographie de manière accidentelle ou involontaire (Peter & Valkenburg, 2016).

Une autre étude montre que 90% des garçons et des filles avant l’âge de 11 ans sont tombés sur du contenu pornographique (Ballester et al., 2019). Ces contenus correspondent à des véritables images traumatiques pour des cerveaux encore vierges, immatures dans leur développement neuronal, incapables d’analyser et prendre du recul face aux images observées. La sexualité qui était auparavant source de saine curiosité infantile, devient alors pour eux, suite à ce premier contact pornographique, objet de dégoût et de fascination en même temps. Choqué et plein de questionnements, l’enfant est amené à revenir regarder ce contenu afin de pouvoir l’intégrer et le comprendre.

Avant même que le jeune fasse l’expérience de son corps, de ses pulsions et d’une sexualité réelle en contact avec un vrai « autre », il fait l’expérience d’une sexualité qui correspond plutôt à du « sexe dur », violent, où la femme est un objet de consommation, à prendre et à jeter, et où les dimensions constitutives d’une sexualité saine telles que l’intimité, la confiance, l’affectivité, le respect et le consentement sont absolument absentes.

Ce contact précoce que je nomme « viol psychique » envahit de manière inattendue mais brutale la pensée et l’imaginaire du petit. C’est un des plus puissants facteurs de risque pour le développement d’une addiction à partir de l’adolescence, lorsque l’accès à Internet est sans limites, le smartphone dans la poche et que d’autres variables personnelles, psychologiques et contextuelles influencent les difficultés de régulation émotionnelle et pulsionnelle du jeune. En effet, à l’arrivée de la puberté avec le réveil des pulsions sexuelles, les jeunes ont, pour beaucoup d’entre eux, déjà eu accès à ces contenus, et vont avoir tendance à y replonger afin de se réguler et répondre dans le secret aux désirs sexuels pas encore contrôlés et souvent envahissants. Lors de cette étape charnière dans le développement psychosexuel, l’adulte en devenir se construit nourri par les schémas et la logique pornographique.”

Référence : Audition au Sénat pour le rapport « Porno l’enfer du décor” Délégation aux droits des femmes : compte rendu de la semaine du 30 mai 2022

Voici quelques signaux auxquels vous pouvez être attentif

 
  • Dépendance de la technologie et utilisation en cachette ou isolé dans sa chambre des écrans
  • Fatigue, altération du sommeil
  • Anxiété, irritabilité, altérations de l’humeur “inexplicables”
  • Isolement, crises de colère, repli sur soi
  • Dépenses inexplicables
  • Décrochage scolaire, problèmes d’attention
  • Mensonges
  • Honte, culpabilité
  • Langage sexualisé
  • Historique de recherche de contenus de plus en plus forts ou extrêmes
  • Incapacité d’arrêter le visionnage
  • Virus réguliers sur les appareils connectés, publicités sexualisées, historiques régulièrement effacés

« Je veux communiquer au sujet de la pornographie avec mon enfant »

Le silence ne protège pas, il isole.

Parler tôt, c’est protéger.

Votre lien de confiance est déjà un premiers pas de franchi vers la sortie de cette addiction, et de la honte et solitude qu’elle entraine irrémédiablement

Ressources

Donner du sens à la vie relationnelle, affective et sexuelle

Informer et susciter la réflexion

Vous pouvez proposer du contenu alternatif si votre enfant / adolescent est en recherche d’informations et que vous n’êtes pas à l’aise pour en parler avec lui. Vous trouverez ci-après des ressources adaptées pour se faire.

Livres

  • Pour les 3-6 ans : Andréa Bescond et Mathieu Tucker « Et si on se parlait, le petit livre pour aider les enfants à parler de tout, sans tabou ! » Harper Collins 
  • L’encyclo de la vie sexuelle” (qui existe en 4 tomes : adapté à certaines tranches d’âge)  
  • A partir de 6 ans : « Max et Lili veulent tout savoir sur les bébés » 
  • Entre 5 et 8 ans « Questions d’amour » Nathan

Vidéos ressources  pour primaire 

Outil C-MOI

Un support qui permet l’animation d’ateliers auprès d’enfants et d’adolescents et les échanges en famille.

Brochure pédagogique associée à l’outil ( séances sur l’estime de soi, l’intelligence émotionnelle, le consentement, corps et sexualité, … )

Un outil support d’expression qui facilite la compréhension de l’impact de la pornographie sur le corps, le coeur, le cerveau, la conscience, l’intimité.

Boutique | AVRAS

Vidéos

À partir de 14 ans

Sites ressources

Livres

  • BD “Pop -Porn, le porno c’est pas la vraie vie” d’Elvire Duvelle-Charles- Caroline Nasica éditions Matin!
  • « Le consentement » : Livre qui fait réfléchir les adolescents sur le consentement à partir de situations du quotidien comme le choix d’une part de pizza.. 
  • « Sexpérience » d’Isabelle Filliozat : Un livre complet et bien illustré qui répond aux questions et aux préoccupations des adolescents sur la sexualité.
  • « Tu n’es pas obligée » : Rapport au corps et aux normes de beauté, rapport à l’autre et aux sexualités, codes de la pornographie… Les injonctions portant sur le corps et la sexualité des filles sont nombreuses. Pour s’en libérer, il faut les reconnaître et en prendre conscience. Ce sera chose faite grâce à cet essai d’Ovidie illustré par Diglee, qui est un véritable guide d’empowerment destiné aux adolescentes.

Quelques ressources pour aller plus loin :

  • NoFap – Communauté en ligne avec un blog actif, qui encourage l’abstinence à la pornographie et partage des histoires inspirantes.
  • Fight the New Drug – Organisation qui sensibilise sur les effets néfastes de la pornographie, avec un blog rempli d’articles éducatifs.
  • Gary Wilson – Auteur du livre « Your Brain on Porn », il partage beaucoup de ressources et de réflexions sur l’impact de la pornographie sur le cerveau.
  • Matt Fradd – Conférencier et auteur, il écrit et parle beaucoup sur la lutte contre la pornographie, notamment à travers son podcast « Pints with Aquinas ».
  • Organisation AVRAS www.avras.frCONFERENCE EN PRESENTIEL ou en VISIO pour sensibiliser les parents et les professionnels animée par Amélie LAURENT et Maÿlis CONIL LACOSTE : “ Sexe, porno et écrans : des clés pour dialoguer avec son enfant “ – Infos : avras.contact@gmail.com
  • Organisation AVRAS www.avras.fr  – ATELIER PARENTS pour former les parents : partage d’expériences, analyse de cas concrets, outils directement applicables, ressources pour approfondir la thématique – Infos : avras.contact@gmail.com

Projet à venir : Groupe de soutien pour les parents

En projet :
Groupe de soutien pour les parents

Un groupe de soutien à la parentalité en cas d’exposition et/ou d’addiction d’un de vos enfants à des contenus pornographiques est en cours de création.

Pour tout renseignement, vous pouvez nous contacter.

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